2020 : des ravages à l'espérance

Après une bonne pause de plus d'une année, je crois qu'il est temps que je reprenne cette habitude d'écrire, pour organiser et fixer mes réflexions. Je ne peux pas toujours contrôler mon temps — mais si je ne prends pas parfois le temps d'écrire, c'est sûr que je ne l'aurai pas. Expérience faite en 2019.



Ce qui me pousse à écrire aujourd'hui, c'est à la fois mon expérience et la lecture de divers articles sur internet qui me montrent à quel point l'homme sans Dieu est déboussolé dans ce monde.

Dernier exemple, un article de décoration qui fait l'apologie de l'astrologie (oui vous avez bien lu !). Je trouve le titre "surfez sur la tendance de l'astrologie" particulièrement choquant.

Toujours dans le thème de la décoration (c'est un de mes centres d'intérêts), les gens parlent de plus en plus de "faire le ménage", de minimalisme, de "slow life"... et de mon point de vue il s'agit surtout d'une quête de sens. Tout simplement, les gens découvrent les limites du matérialisme et du consumérisme.
Joël 1:3, 10-12, 19-20
Racontez-le à vos enfants,
Et que vos enfants le racontent à leurs enfants,
Et leurs enfants à la génération qui suivra !

 
Les champs sont ravagés,
La terre est attristée ;
Car les blés sont détruits,
Le moût est tari, l'huile est desséchée.

Les laboureurs sont consternés, les vignerons gémissent,
À cause du froment et de l'orge,
Parce que la moisson des champs est perdue.
La vigne est confuse,
Le figuier languissant ;
Le grenadier, le palmier, le pommier,
Tous les arbres des champs sont flétris...
La joie a cessé parmi les fils de l'homme !

C'est vers toi que je crie, ô Éternel !
Car le feu a dévoré les plaines du désert,
Et la flamme a brûlé tous les arbres des champs.
Les bêtes des champs crient aussi vers toi ;
Car les torrents sont à sec,
Et le feu a dévoré les plaines du désert.
Comment ne pas penser aux ravages du feu en Australie en lisant cette dernière ligne ? Le monde s'émeut face à l'urgence climatique, et plus généralement en réalisant les dégâts causés par l'activité de l'homme sur la nature.

Mais qui se tourne vers Dieu au milieu de la confusion et de la tourmente ? Pourtant, c'est bien le Créateur qui tient le monde dans sa main, et il nous a laissé sa promesse :
Genèse 8:22
Tant que la terre subsistera, les semailles et la moisson, le froid et la chaleur, l'été et l'hiver, le jour et la nuit ne cesseront point.
Une chose est sûre : Jésus va revenir bientôt. Soyons prêts. Dans ce monde en révolte, je vous souhaite seulement de trouver la paix avec Dieu.

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