Ce qui est bien


Ecclésiaste 8:5-8
Celui qui observe le commandement ne connaît point de chose mauvaise, et le coeur du sage connaît le temps et le jugement. Car il y a pour toute chose un temps et un jugement, quand le malheur accable l'homme. Mais il ne sait point ce qui arrivera, et qui lui dira comment cela arrivera ? L'homme n'est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n'a aucune puissance sur le jour de la mort ; il n'y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants.
Il y a quelque chose de rassurant à pratiquer le bien : c'est qu'on ne peut pas nous attaquer sur ce que l'on fait, ou nous faire des reproches. C'est une vraie force.
Pourtant, faire le bien comporte souvent des risques : que d'autres en profitent, prennent le bien pour de la faiblesse, ou que sais-je. En étant méchant, on peut avoir un gain plus facilement, plus rapidement, et souvent sans conséquences visibles. Que faire donc ?

L'Ecclésiaste nous rappelle, avec sagesse, que l'homme n'est pas maître des événements. Il peut faire le bien ou le mal, mais il ne contrôle pas les conséquences... et il y aura un jugement. Si le méchant prospère pendant un temps, cela ne le délivre ni de la mort, ni du jugement. Pour avoir la paix dans le coeur même dans le malheur, il faut faire le bien.

Michée 6:8
On t'a fait connaître, ô homme, ce qui est bien ;
Et ce que l'Éternel demande de toi,
C'est que tu pratiques la justice,
Que tu aimes la miséricorde,
Et que tu marches humblement avec ton Dieu.
Faire le bien, non seulement c'est obéir à Dieu, mais c'est pour l'avantage éternel de tous !
1 Corinthiens 10:33
Je m'efforce en toutes choses de complaire à tous, cherchant, non mon avantage, mais celui du plus grand nombre, afin qu'ils soient sauvés. 


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